Pour cette collection Akris, Albert Kriemler s’est laissé inspirer par Reinhard Voigt, un artiste qui a travaillé ses images pixélisées dans les années 70, il y a donc plus de 50 ans et qui sont apparues d’une modernité parfaite aux yeux d’Albert Kriemler. Dès les débuts de sa présentation, il confronte les motifs à damier sur un pull en cachemire, un poncho kaléidoscopique, un coupe-vent néoprène, un top aux motifs discontinus ou encore un manteau en patchwork de peau lainée rasée. Passant devant les œuvres exposées, le résultat est saisissant, mais Albert Kriemler va toujours aller plus loin, prend d’autres directions que celles du départ ce qui rend ses défilés si attractifs. Après les motifs acidulés, une série, classique et réussie de tenues beiges en dégradé s’éloigne alors de Reinhard Voigt pour être du pur Kriemler…
Akris
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