Une famille avec les organisateurs comme avec les membres de Chopard présents – au total, une trentaine de collaborateurs, une équipe « formidable qui, sur place, fait un travail remarquable » – mais aussi les stars. Des stars impliquées, heureuses, fidèles (parmi lesquelles Julia Roberts, Naomi Campbell, Carla Bruni, Isabelle Huppert…), qui vouent une admiration sans borne aux collections Red Carpet. « En fonction des goûts et des habitudes de chacune, nous essayons de leur apporter le choix le plus adapté à leurs envies, explique Caroline Scheufele. Ces personnalités nous connaissent et apprécient nos créations, ce sont elles qui nous choisissent ! Comme chaque bijou raconte une histoire unique et que les pierres ont, en elles-mêmes, des personnalités singulières, chaque femme trouvera la gemme qui lui ira et la fera rayonner. »
La féerie Chopard au Festival de Cannes
Dans l’imaginaire culturel du monde, le Festival de Cannes tient une place à part. Et dans le monde de l’imaginaire, les créations de haute joaillerie Red Carpet de Chopard tout autant. Entre le 14 et le 25 mai, durant le Festival de Cannes dont elle est le partenaire privilégié depuis 27 ans, la maison suisse va présenter 77 pièces plus incroyables et poétiques les unes que les autres. Découverte avec Caroline Scheufele, la directrice artistique et coprésidente de Chopard, de cette aventure cinématographique comme de ces pièces magiques dignes d’un conte de fées.
Les contes de fées commencent souvent par « il était une fois ». Ainsi doit débuter le récit de celui qui voit, depuis 27 ans maintenant, la mai- son Chopard faire vibrer l’une des plus belles histoires d’amour entre artisanat d’exception et 7e art, haute joaillerie et culture de portée internationale, créativité donnant vie à des joyaux qui marquent le temps et films qui hantent les mémoires. Le tout applaudi par les plus grandes stars, dont la plupart sont amies de la Maison Chopard. Mais ce « il était une fois », en plus de célébrer en presque quasiment trente ans les noces du glamour et du raffinement, des gemmes et des « j’aime », prend un autre sens, à l’orée de l’édition 2024 du Festival de Cannes, dont la 77e édition se tiendra cette année du 14 au 25 mai. Encore plus poétique, magique même, puisque les 77 pièces de la collection Red Carpet présentées par la maison suisse pour magnifier les actrices foulant le tapis rouge de la Croisette, se révèlent émouvantes comme jamais. Mais aussi audacieuses, irrévérencieuses, d’un raffinement poétique sublime. Et pour cause, elles s’inspirent des contes de fées, en adoptent l’imaginaire, la fantasmagorie, créant un monde où des réminiscences de l’enfance comme une nature chimérique tendre à souhait explosent de beauté et d’originalité. Ce pays des songes, c ’est Caroline Scheufele, la coprésidente et directrice artistique du joaillier qui l’a façonné et l’ouvre pour nous.
Je suis une cinéphile passionnée depuis toujours, Chopard aime et soutient le cinéma depuis plus d’un quart de siècle, nos liens se renforcent donc.
Elle qui nous présente la collection ensorceleuse, née de son envie d’enfance et d’une nature vraiment pas comme les autres, à laquelle ses ateliers sont parvenus à donner vie avec brio. Elle qui, aussi, nous dévoile quelques-uns des moments forts que Chopard off rira à Cannes. La porte s’entrebâille et le pays où carats et charisme s’allient apparaît. Avec la beauté du rare en majesté. Et une famille de cœur (décidément, un partenariat aussi long montre que les belles unions peuvent durer) pour la sublimer.
« Nous sommes une famille, confirme Caroline Scheufele lorsqu’on lui demande comment s’entretient la flamme d’une telle fusion. Nous grandissons ensemble, nous prenons soin de notre relation, nous vivons chaque année des instants inoubliables. Ce rendez-vous devenu incontournable est un défi créatif autant que technique pour une collection qui voit le jour chaque année, portée par une inspiration nouvelle à chaque fois. Et, personnellement, c’est une immense fierté. Je suis une cinéphile passionnée depuis toujours, Chopard aime et soutient le cinéma depuis plus d’un quart de siècle, nos liens se renforcent donc. Comme Cannes est un moment très joyeux et qu’aucune édition ne ressemble à une autre parce qu’il y a à chaque fois de nouveaux films, de nouveaux acteurs, une atmosphère différente, je suis impatiente. »
La force du luxe durable
Des pièces qui, en outre, et ce n’est en rien anodin, sont 100 % vertueuses. Les stars saluent l’engagement social et environnemental de la maison suisse, ce luxe durable que Chopard a été, dès 2013, l’un des premiers à mettre en avant dans la haute joaillerie. Art, éthique et esthétique étant liés, les parures que les divas du 7e art arborent allient ces exigences. « Incontestablement, le développement durable est une préoccupation qui ne s’arrête jamais, pour elles comme chez nous, explique la coprésidente. Notre priorité doit être de protéger les personnes qui sont sur le terrain pour rendre notre activité possible. La généralisation de l’approvisionnement en or éthique pour 100 % de notre production de montres et de bijoux depuis juillet 2018 et notre nouvel engagement cette année à utiliser 80 % d’acier recyclé pour toutes nos montres en acier, réduisant ainsi notre empreinte carbone, ont fait partie des plus grandes étapes de ce voyage. La protection de l’environnement et des droits humains est une mission indispensable de notre société. En tant que maison de luxe, nous devons montrer l’exemple. Et c’est apprécié. » De fait, la puissance d’un bijou, si elle tient à sa beauté intrinsèque, à la perfection de sa réalisation, à la qualité des pierres et matériau auxquels il recourt, dépend aussi de l’aura de sa signature et des valeurs qu’il véhicule. Comment serait perçu un joyau inspiré d’un conte de fées, aussi merveilleux soit-il, si on apprenait que le message lyrique qu’il véhicule cachait des conditions de création et d’extraction de ses matériaux dignes d’un polar tragique ? La magie, d’un coup, serait noire et son aura bien ternie. Le conte de fées, pour être encore plus intense et envoûtant, ne s’autorise aucune ombre.
La Red Carpet Collection 2024 le montre avec éclat, elle qui donne à voir un jardin extraordinaire, une forêt étincelante, où tout fascine. Imaginez une nature qui se fait bague champignon en or éthique rose avec chapeau serti de diamants blancs, oranges, cognac et bruns disposés en dégradé de taille et couleur. Qui fleurit en broche muguet aux clochettes micro-serties de diamants et aux pistils d’or jaune éthique. Qui devient collier inspiré d’un chêne accueillant plein de « bébêtes », œuvre d’or rose, de titane, de tsavorites, de saphirs briolettes jaunes…
Joyau qui se transforme en boucles d’oreilles papillons transportant des aigues-marines taille poire. Imaginez que cette nature s’incarne en grenouilles de titane et d’émeraudes taille poire pour une bague en or jaune… Et songez que ces bijoux, comme tous les autres, sont surveillés d’un œil rieur par une fée aux ailes de nacre posée sur une tiare aérienne, entourée d’une pluie d’étoiles et de gouttes de diamants, bijou qui, d’un coup de baguette magique, se métamorphose en broche à secret.
L’émerveillement d’une rêveuse
L’émerveillement que ces pièces crée, Caroline Scheufele en sourit de contentement. Son pari est réussi. « Je suis une rêveuse, j’ai voulu retranscrire les mondes imaginaires de l’enfance dans mes créations, confie-t-elle. “Il était une fois…” sont des mots magiques, n’est-ce pas ? De par le monde, dans toutes les cultures et à tous les âges de la vie, les contes de fées sont ancrés dans l’imaginaire collectif. Ces récits fabuleux, souvent issus du folklore populaire, invitent à la rêverie et ouvrent grand les portes de l’imagination. Pour moi, petite, ce sont les incroyables contes de Grimm ou de Perrault, mais aussi les films de Disney ! Et chez Disney, on en a vu des fées. Dès lors, que serait une collection inspirée des fairytales sans elles ! On leur prête des pouvoirs surnaturels et une capacité à influer sur le monde des vivants. La nôtre apparaît au centre de cette tiare aérienne et immaculée et s’y déploie céleste et gracieuse. Par le passé, je me suis déjà amusée à rendre hommage aux petites créatures humbles, comme les rats, les cochons ou les araignées ; cette année c’est la grenouille, batracien emblématique des contes, qui se trouve à l’honneur. Quant au collier arbre, j’ai voulu exprimer toute la majesté du chêne, symbole de force et de puissance, mais aussi traduire sa générosité, puisqu’il est l’hôte d’une multitude d’animaux, d’insectes, d’oiseaux. Pour cette spectaculaire interprétation technique d’un dessin exécuté à la main, six mois de travail et l’intervention de quatre joailliers et sertisseurs ont été nécessaires.» Étonner, surprendre, encore et toujours. Et inviter au rêve. « Là est tout l’enjeu, confirme Caroline Scheufele. Nous, créateurs, sommes en permanence à la recherche de nouveaux défis. C’est un processus continu, souvent presque inconscient. Chaque année Chopard surprend avec des pièces uniques qui mettent toute l’expertise de nos artisans en lumière !»