Horlogerie Les belles heures de l’automne
Glashütte Original: Un nouvel écrin à Paris
À l’occasion de son 180e anniversaire, la marque saxonne Glashütte Original inaugure une nouvelle adresse à Paris, située au numéro 25 de la rue du Faubourg-Saint-Honoré, entre le palais de l’Élysée et la place de la Concorde.
Baptisée L’Écrin, cette boutique aménagée comme un appartement confortable est un concentré de précision allemande et d’élégance parisienne. Derrière la porte, ornée du fameux col de cygne utilisé pour le réglage fin des montres de la marque, les amateurs pourront découvrir non seulement les collections actuelles de l’horloger, mais également un “cabinet de curiosités” consacré aux modèles rares et aux éditions limitées, comme le superbe Chronographe Seventies Panorama Date dans d’audacieux coloris “Plasma” et “Fusion”, ou la toute nouvelle PanoMaticCalendar “Bleu de l’aube”, une édition limitée à 150 exemplaires en platine, qui rend hommage à la poésie de cette lumière matinale qu’affectionnent les horlogers de la manufacture.
Derrière un cadran bleu au décor de disque vinyle subtilement découpé, le mouvement de ce beau calendrier annuel se dévoile, laissant apparaître une superbe finition côtes de Glashütte.
- 25, rue du Faubourg-Saint-Honoré, 8e
- Tél. 01 81 69 56 46
- www.glashuette-original.com
BVLGARI octo finissimo Lee Ufan: L’art et la finesse
Depuis 2014, l’Octo Finissimo défraie la chronique horlogère. Avec son design octogonal minimaliste inspiré de la basilique de Maxence et Constantin à Rome, ses matériaux audacieux et son époustouflante créativité, cette collection ne cesse de repousser les limites techniques avec des garde-temps toujours plus fins.
Véritable toile blanche à la fois éternelle et follement contemporaine, l’Octo Finissimo se prête merveilleusement aux collaborations architecturales et artistiques.
Entièrement faite de titane, cette édition limitée développée avec l’artiste sud-coréen Lee Ufan transcrit le dialogue entre la présence statique de la pierre et l’espace infini des reflets du miroir, un thème qui lui est cher.
Passionné de culture japonaise, Fabrizio Buonamassa Stigliani, directeur exécutif de la création produit, a été conquis par l’univers de cet artiste qui réside au Japon, à la fois poète, philosophe, peintre et sculpteur.
L’effet minéral, obtenu grâce à un patient travail artisanal des éléments de titane, contraste avec l’effet miroir du cadran ponctué d’aiguilles noires de cette montre de 5,5 mm d’épaisseur, Octo Finissimo oblige.
Une édition limitée à 150 pièces, signées par l’artiste au dos de la boîte.
Blancpain Fifty Fathoms 5007: Toujours plus raffinée en 38 mm
La montre de plongée légendaire de Blancpain part à la conquête des poignets les plus fins, avec un nouveau diamètre de 38 mm d’inspiration vintage, le plus petit de la collection, qui allie sportivité, raffinement et élégance au féminin comme au masculin.
Avec des proportions entièrement repensées, cette pièce ouvre un nouveau chapitre dans l’histoire de la première montre de plongée moderne, présentée en 1953, et l’on se prend à rêver d’exploration, ne serait-ce que pour s’offrir le plaisir de la porter. Avec sa boîte en titane grade 23 ou en or rouge 18 carats et son cadran de nacre avec un beau dégradé noir ou rose, ce garde-temps versatile s’adapte à toutes les circonstances, que l’on choisisse de l’habiller d’un bracelet Tropic assorti à son cadran, NATO pour une inspiration militaire-chic, en toile de voile ou en titane.
Étanche à 300 mètres, la Fifty Fathoms 5007 est dotée du calibre Manufacture Blancpain 1153 à remontage automatique, d’une autonomie de 100 heures. Son prix : 30 700 €. Cette version 38 mm est également disponible avec un cadran noir ou bleu et une boîte titane ou acier.
Bell & Ross BR-X3: Avant-gardiste et technique
Dans la lignée de la BR-X5, la nouvelle BR-X3 est l’expression la plus technique et la plus luxueuse de la célèbre montre-instrument de la marque française.
Inspirée par l’esthétique des instruments de bord de l’aviation, cette version avant-gardiste de la BR-03 de 41 mm est déclinée en deux modèles au tempérament affirmé.
La première, en titane, mise sur la sobriété d’un camaïeu de gris. Lumineuse, avec son cadran soleillé d’un bleu éclatant et les finitions polies de la boîte, la version Blue Steel joue la carte de l’élégance et du contraste.
Le cadran, très graphique, rappelle subtilement l’univers de l’aéronautique avec deux compteurs de type jauge, l’une pour la réserve de marche à 9 heures, l’autre pour la date à 3 heures. La BR-X3 est animée par un mouvement mécanique à remontage automatique d’une autonomie de 70 heures développé par la manufacture Kenissi pour Bell & Ross, certifié chronomètre par le COSC. Le bracelet est en caoutchouc ajouré. La BR-X3 Blue Steel est pro- posée à 7 400 €, la Black Titanium, à 8 400 €.
Louis Vuitton Monterey: Édition limitée collector
En 1988, Louis Vuitton présentait ses deux premières montres-bracelets, la LV I et la LV II. Ces pièces, dessinées par la célèbre architecte italienne Gae Aulenti (à qui l’on doit notamment la fameuse lampe Pipistrello et la transformation de la gare d’Orsay en musée), marquaient l’entrée de la Maison dans le monde de l’horlogerie.
La LV I, avec son audacieuse forme galet, sa couronne à 12 heures (un clin d’œil aux montres de poche), son chemin de fer et sa fonction GMT, rappelait l’univers du voyage, cher à Louis Vuitton depuis toujours.
Surnommée “Monterey” (une déformation du mot “montre” , prononcé à l’américaine), cette pièce prisée des collectionneurs fait l’objet d’une réinterprétation contemporaine, qui revisite les codes du dessin original.
Réalisée en or jaune, sa boîte galet emblématique est pourvue d’un magnifique cadran en émail grand feu blanc et d’un nouveau calibre automatique développé par La Fabrique du Temps Louis Vuitton.
Une édition limitée à 188 pièces, et un symbole de l’extraordinaire trajectoire horlogère de la Maison depuis la fin des années 1980.
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