Evénement

Omega, la médaille d’or du temps

Aux JO, il est un nom systématiquement sur les lignes d’arrivée. Celui d’Omega. Et pour cause, chronométreur officiel des olympiades depuis 1932, l’horloger suisse n’a cessé d’inventer de nouvelles technologies pour rendre la plus magistrale des compétitions toujours plus précise. Ce partenariat à long terme, Paris 2024 le voit mieux que jamais au top niveau. Athlètes ambassadeurs de renom, maison Omega luxueuse et montres commémoratives inédites sont là pour le prouver, comme nous le détaille le CEO Raynald Aeschlimann.

Dans un cercle transparent derrière lequel se découpe la silhouette emblématique de la tour Eiffel, un compteur égraine le temps jusqu’à l’ouverture des Jeux Olympiques. A côté du logo de Paris 2024 trône un nom connu du monde entier, des sportifs comme des amateurs de montres pas comme les autres : Omega. Cette proximité digne d’une affinité élective est un symbole et un message. Une continuité aussi, une permanence même, puisque depuis 1932 la marque est le chronométreur officiel de ce summum de la compétition sportive internationale. 329 évènements et 32 disciplines en cette édition 2024, des technologies de plus en plus poussées pour mesurer les résultats, parfois infimes, qui séparent un(e) médaillé(e) d’or d’un(e) lauréat(e) d’argent puis de bronze et fournir des data exclusives… le rôle scientifique d’Omega est plus que jamais essentiel. Or, on a beau avoir 31 JO derrière soi, qui tous ont confirmé la compétence de cette manufacture capable d’inventer des appareils chaque fois plus intelligents pour quantifier le meilleur de l’exploit sportif, scientifique et horloger, l’enjeu est tel qu’à chaque édition le challenge relève du défi. Quand des milliards de personnes regardent les courses, tout doit être plus que parfait, le chronométrage en tête. Aussi, cette année encore, Omega remet son titre en jeu. Chacun pourra admirer avec quel brio à partir de la cérémonie d’ouverture du 26 juillet à 19:30, puis lors des compétitions durant lesquelles entreront en lice nombre des athlètes ambassadeurs de la marque. Mais aussi, pour les chanceux, le découvrir dans l’Omega House que la firme ouvre dans la Maison des Polytechniciens, ainsi qu’à travers les trois montres inédites liées aux JO que l’horloger présente en ce début d’été. Un foisonnement d’actions que Raynald Aeschlimann, le CEO, raconte avec passion… Celle bientôt partagée par le public du monde entier comme celle des équipes de l’horloger impliquées à 2024%…

Ce trait d’humour ferait-il sourire Raynald Aeschlimann ? Peut-être le jugerait-il osé et, surtout, ne correspondant pas à la nature de la relation faite d’estime et de retenue qui anime, depuis quasiment un siècle, le partenariat entre le CIO et la maison suisse. « La base de notre relation avec les Jeux Olympiques repose sur la confiance, dit-il. Nous avons commencé à chronométrer les Jeux en 1932, et depuis les 92 dernières années nous avons prouvé notre excellence à maintes reprises. Grâce à la passion, au dévouement et à l’évolution constante de la technologie, nous avons prouvé que nous sommes la meilleure entreprise pour ce rôle. » De fait, les prouesses réussies par les équipes d’Omega jalonnent l’histoire des Jeux Olympiques. Avant 1932, et le choix d’un chronométreur exclusif et unique, chaque arbitre utilisait le matériel de la marque qu’il voulait, ce qui entrainait de comparaisons hasardeuses et une précision inconstante. Cette année-là, à Los Angeles, Omega est arrivé avec trente chronomètres certifiés par le laboratoire de Neuchâtel tous étalonnés au 1/10e de seconde et aptes à enregistrer des temps intermédiaires ; une révolution. En 1948, au JO d’hiver de St Moritz, Omega invente cette fois la cellule photoélectrique, qui sur la ligne d’arrivée capte et mesure au 1/1000e de seconde le temps d’un athlète, bien mieux qu’un humain. La même année, au JO d’été de Londres, est utilisé le Magic Eye qui , conjugué à cette cellule, photographie l’ordre d’arrivée des athlètes, de quoi départager sans contestation le trio de tête. En 1952, à Helsinki cette fois, l’Omega Time Recorder marque les esprits parce que ce chronographe électronique imprime à très grande vitesse les résultats au 1/100e de seconde. Quatre ans plus tard, c’est la mesure des performances de natation qui est bouleversée grâce au Swim Eight-O-Matic, premier chronographe semi-automatique capable de distinguer les temps selon les lignes des nageurs. A Innsbruck, en 1964, Omega accompagne la retransmission télévisée des compétitions avec un Omegascope qui superpose sur l’écran des téléspectateurs le temps des sportifs ! Encore quatre ans et, à Grenoble cette fois, s’ajoutent les noms, les temps, la vitesse etc. Sautons les années : 1976, Montréal, la photo-finish en couleur ; 1984, Los Angeles, le détecteur de faux départ avec haut-parleur pour informer en cas d’erreur ; 1992, Albertville, le Scan-O-Vision qui mesure le temps au 1/1000e de seconde avec une seule caméra ; 2008, Pékin, le recours au GPS durant des courses ; 2010, Vancouver, le design du pistolet de starter réinventé pour éviter que le coureur le plus près du starter ne soit avantagé lorsqu’il perçoit le bruit de celui-ci alors que ses concurrents l’entendent plus tard.

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Vous voulez d’autres ingéniosités Omega ? 2012, Londres, le Quantum Timer est capable de mesurer au 1 millionième de seconde ; Rio, 2016, le Scan’O’Vision Myria prend 10000 images digitales par seconde de chaque athlète franchissant une ligne. Etc, etc… Paris 2024 ne sera pas en reste puisqu’Omega présente la version Ultimate de cette technologie, capable cette fois de capturer 40000 images numériques par seconde afin que les juges puissent décider plus rapidement. L’intelligence artificielle apparait, mariée à la technologie de vision par ordinateur et une combinaison à une ou plusieurs caméras alimentant des modèles d’IA entrainés pour chaque sport, données qui rapporteront l’histoire complète d’un évènement. Les JO dans les moindres détails en somme. Par exemple, au plongeon, des caméras suivront les sportifs du départ du saut jusqu’à l’entrée dans l’eau, tandis qu’IA et algorithmes reproduiront leur prestation en 3D avec images et mesures. « Nous pouvons souvent utiliser les mêmes technologies pour plusieurs sports, pour les JO comme les Paralympiques, explique le CEO. Par exemple, la caméra photofinish Scan’O’Vision Ultimate est utilisée tout aussi bien en cyclisme qu’en athlétisme tandis que nos célèbres plaquettes tactiles servent en natation comme en escalade. Bien sûr, nous avons aussi besoin d’équipements spécifiques pour certains événements, qu’il s’agisse, par exemple, des cibles de tir à l’arc électroniques ou des feux de départ pour les athlètes sourds des Jeux Paralympiques. »

 

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Léon Marchand

Une variété de technologies qui impressionne autant que l’ensemble du dispositif mis en œuvre par Omega aux JO. « Le travail à Paris 2024 nécessite 550 chronométreurs Omega, ainsi que 900 bénévoles formés. C’est une opération immense qui demande toute notre expertise et notre expérience, commente Raynald Aeschlimann. Une opération qui prouve au monde qu’on peut compter sur nous lors des moments les plus critiques du sport, qui met en avant nos valeurs de précision, d’excellence, d’innovation et qui souligne combien notre héritage ne peut être comparé à celui d’aucune autre marque. »

La variété des athlètes ambassadeurs de la marque présents durant ces Jeux Olympiques traduit aussi cette implication totale et cette renommée unique. De l’escrimeuse Ysaora Thibus aux handballeurs Nikola et Luka Karabatic en passant par la judokate Romane Dicko, le triathlète Alexis Hanquinquant, la golfeuse Céline Boutier, les grimpeurs Bassa et Mikael Mawem, la coureuse Cyréna Samba… le nombre de disciplines où les porte-drapeaux français d’Omega (imaginez pour le reste du monde) sont en lice fascine. Et quand on songe que le nageur Léon Marchand en fait partie, on se dit que ce casting de rêve, personne d’autre ne pourrait nous l’offrir.  « Omega soutient des athlètes de tous les Jeux Olympiques et Paralympiques, représentant plusieurs sports et nations, explique le CEO. Tous sont choisis pour les valeurs qu’ils représentent, s’efforcent d’être les meilleurs, repoussent les limites de leur discipline, démontrent constamment les normes les plus élevées de précision et de performance. »

 

Des sportifs qui, comme les VIP et les ami(e)s de la maison seront reçus avec tous les égards dans un lieu unique, une sorte de sanctuaire Omega ancré au cœur des JO. « L’Hôtel de Poulpry, à deux pas du musée d’Orsay, était le choix parfait pour Paris, non seulement en raison de son emplacement central exquis, mais aussi parce qu’il offre un espace lumineux, avec des zones extérieures et plusieurs salles pour créer l’atmosphère que nous désirons », détaille Raynald Aeschlimann. Une maison Omega conçue pour offrir aux visiteurs un lieu où célébrer et se détendre, où l’on parle sport, où l’on voit du sport (sur grands écrans), où l’on se met plus confortablement que jamais à l’heure des JO by Omega. Une heure que trois montres inédites célèbrent dignement. Le chronométreur officiel ne pouvait manquer de proposer aux amateurs de chronographes d’exception des créations saluant un tel partenariat avec le CIO.

Il a d’abord présenté, voici un an, la Seemaster Diver 300M Paris 2024 Special Edition, dont le boitier 42mm en acier et or, l’échelle de plongée structurée au laser et le point de Super-LumiNova à 12 heures, le cadran en céramique blanche et le fond commémoratif ont été salués.  Puis, récemment, la Speedmaster Chronoscope Paris 2024 qui se pare des couleurs de l’évènement et existe en quatre versions de 43mm déclinant chacune la palette or, noir et blanc des JO. Toutes ont un cadran opalin blanc avec trois échelles de mesure (tachymétrique, pulsomètre et télémétrique), au verso un médaillon à base givrée portant le logo Partis 2024, et adoptent le calibre Co-Axial master Chronometer 9908/9909 certifié.  Le modèle en acier inoxydable avec lunette aluminium ou céramique, boitier et bracelet en or Moonshine 18k (alliage maison de nuance délicate et de brillance longue durée) séduit particulièrement.

« Pour chaque montre des Jeux Olympiques, nous commençons toujours par les designs iconiques de nos collections Omega, comme le légendaire Seamaster Diver 300M ou le Speedmaster Chronoscope, raconte le CEO. À partir de là, nous essayons d’incorporer des touches uniques qui célèbrent l’occasion. Cela peut être l’inclusion du logo de la compétition, les couleurs des anneaux olympiques, ou même la typographie de Paris 2024. Bien sûr, il s’agit aussi de trouver l’équilibre parfait des matériaux qui correspondent à l’esprit sportif, l’utilisation de l’or étant toujours une inclusion populaire. Globalement, cela offre aux clients une pièce authentique et originale, qui représente à la fois l’excellence sportive et la haute qualité d’Omega. » Et la troisième montre inédite estampillée Paris 2024 ? Patience, on ne la connait pas encore…

Au final qu’attend Omega des JO se déroulant en pleine capitale française? « Des moments incroyables, sourit Raynald Aeschlimann. J’aime l’idée d’une intégration du sport dans des lieux emblématiques de la ville comme la tour Eiffel et la Concorde parce que cela donnera à l’évènement une vie spectaculaire. J’aime aussi penser que les athlètes olympiques et paralympiques, eux qui, à chaque édition ,vont « plus vite, plus haut et plus fort », nous offriront des instants historiques. Et combien il est merveilleux, pour nous, d’y jouer un rôle aussi crucial. » Et si le O de JO signifiait aussi… Omega ? Depuis 92 ans, Omega met son inventivité technique au service du chronométrage officiel des JO. En 1948, à Londres, l’apparition de la cellule photoélectrique pour capter l’arrivée intrigue le coureur Zatopek. En 1952, à Helsinki, c’est le compteur à rattrapante qui passionne. Les sportifs ambassadeurs d’Omega existent depuis longtemps. En 2024, parmi les athlètes phares apparaissent les frères handballeurs Nikola et Luka Karabatic. Pour recevoir invités, VIP, sportifs et nombre d’autres convives, Omega ouvre une « maison éphémère » le temps des JO. A l’hôtel de Poulpry, évènements, compétitions diffusées sur grands écrans se succèderont dans une ambiance luxueuse et décontractée. Parmi les athlètes français soutenus par Omega, le nageur Léon Marchand est l’un des grands espoirs français de médaille(s).

Par Thierry Billard - Publié le

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