Guerlain, reine des abeilles au royaume de la cosmétique
Grâce à sa science de la cosmétologie, de près de deux siècles d’expérience, Guerlain a toujours une longueur d’avance quand il s’agit de plonger les femmes dans un bain de jouvence. Au fil de son histoire, l’abeille, son emblème depuis la création de l’Eau de Cologne Impériale en 1853, est devenue l’objet de l’attention de ses chercheurs, avec en point d’orgue la création du Beelab en 2021, une plateforme d’études consacrées à l’apidé, ses trésors et ses bienfaits sur la peau. L’un des succès les plus récents de Guerlain, le sérum anti-âge Abeille Royale Double R Renew & Repair, lancé en 2018, repose sur cette quête du nectar de jeunesse absolu, recélant dans un flacon double chambre (Guerlain est l’inventeur de ce dispositif avec Alphabella en 1995) une action peeling et une action lifting, en combinant des AHA pour l’éclat, et un complexe au miel pour son effet réparateur. Aujourd’hui, avec son nouveau sérum Abeille Royale Double R Renew & Repair Advanced, Guerlain va plus loin en démultipliant les capacités de ses actifs. Frédéric Bonté, l’homme dissimulé derrière les élixirs de jouvence de la maison, directeur de la recherche Guerlain, a dirigé trois ans de recherches intensives, pour mettre au point (avec la startup française BioCorium), un procédé breveté, la bio-polyfermentation, qui décuple les pouvoirs des miels et gelées royales grâce à l’action synergique de 10 micro-organismes. Des miels insulaires (d’Ouessant en Bretagne et d’Ikaria en Grèce notamment) choisis pour leur haute teneur naturelle en actifs réparateurs, cicatrisants, réunis dans un assemblage ultra-performant baptisé Dynamic Blackbee Repair. Concentrés dans cette nouvelle double formule composée à 96 % d’ingrédients naturels, leur action est renforcée par des AHA et des PHA resurfaçants, dans un flacon en verre partiellement recyclé, qui révèle en prime un parfum floral signé Thierry Wasser, rappelant les arômes des prés sauvages butinés au printemps.