Bonhomme, l’amour du bon
Trois amis bons vivants: Maxime Piasek, formé à l’école hôtelière de Lausanne, ex du rooftop Les Ombres de Ducasse, Marc Faraggi, ex-cadre de banque bordelais, reconverti dans la restauration en 2020, et Thibaut Couvrecelle, vrai Parisien diplômé d’œnologie, ont décidé d’ouvrir Bonhomme. Un vrai resto de quartier qui conjugue les bons produits du terroir et une carte de vins regorgeant de pépites de producteurs triés sur le volet. La déco de ce “bistrot vivant” ne manque pas d’agrément avec ses murs en pierre, en version brute de décoffrage limite destroy, son parquet à l’ancienne à larges lattes de bois clair, ses tables cerclées de laiton et une cuisine ouverte sur la salle. Une grande salle à l’étage et une mini-terrasse en façade complètent le tableau. Le plus important c’est la cuisine, et le chef Matthieu Charriaud a mis son savoir-faire au service d’une carte bistronomique avec des classiques revus à sa façon et des créations plus actuelles comme une tomate ancienne en carpaccio et farcie à la ricotta d’Auvergne, gel citron et basilic ou en plat un magret de canard laqué aux prunes, purée de brocolis, croquette de cuisse confite ou bien un cabillaud de ligne, carottes à l’orange, purée de chou-fleur, sauce carotte-gingembre-citronnelle. Parmi les desserts, on opte pour une mousse au chocolat, maïs soufflé caramélisé. Au déjeuner menu à 24 € et 29 €.
- 12h à 13h30 et 19h à 22h
- Fermé dimanche et lundi
- Prix moyen : 50 €.