Maison Russe, une boutique comme un écrin

Au gré de mes étages, au fil de mes salons, au frisson de mon décor, on me dit table, bar, épicerie fine, plus encore… Je me préfère pourtant m’avouer comme une Maison avec la majuscule qui s’impose lorsqu’on ne ménage pas la belle envie de recevoir. Je suis une Maison Russe. Une nouvelle passion Parisienne. L’histoire commence au rez-de-chaussée, au charme d’une boutique gourmande. Elle ouvre la Maison comme on s’ouvre aux plaisirs. Immédiatement disponible, à droite tout de suite après l’entrée, bienvenue côté boutique, épicerie très fine, traiteur très couture. Vous la décrire ? Disons qu’elle tient en deux syllabes : Ecrin. Un bon ton de vitrines et de comptoirs, le marbre intemporel et les lumières tendres pour mieux installer des nourritures dans l’opulence. de celles qui donnent le sourire, remontent l’appétit, se plaisent à la petite musique des cérémonies, gestes précis, paquets précieux. De celles qui, exigeantes, sélectives. Régalent à la slave. de celles surtout qui voient Noël tout au long de l’année, au tournis de la liste : Caviars, Saumons, Taramas, Coulibiac, Pourtargue, Sandwiches, Chouquettes, Cornichons, Noix de cajou, Thé, Vodka, Huile d’olive nature et à la truffe. La suite, le reste et au-delà, pyjama en soie, kymono, tablier, chaussons, serre-tête, trousse de toilette, vaisselles, linge et objets de Maison.