Omega sur les premières marches du podium
Avec la collection Seamaster Jeux Olympiques présentée dans une déclinaison de trois ors, la maison Omega met tout de suite les pendules à l’heure en matière de positionnement. Cette marque, qui a commencé sa carrière de chronométreur aux Jeux Olympique en 1932, continue sa mission qui devrait durer au moins jusqu’en 2032, date à laquelle cette relation unique fêtera son centenaire. Fière de cet héritage chronométrique, la collection exceptionnelle Omega de cette année, inspirée de pièces du passé et retouchées pour s’inscrire dans le présent, est appelée à passer à la postérité. Avec leur 39,5 mm de diamètre, ces références en or jaune, en or Sedna (alliage d’or rouge stabilisé) ou en Canopus Gold (un or blanc inaltérable) reprennent les teintes des médailles remises aux vainqueurs lors des Jeux.
Ces nouveautés, arborant un cadran en émail teinte coquille d’œuf, sont servies par un calibre automatique Master Chronometer 8807 certifié METAS et sont disponibles en boutiques Omega depuis les Jeux d’hiver de PyeongChang. Un trésor d’équilibre Attachée à servir les femmes avec délicatesse et précision, Omega leur propose depuis plus d’un siècle des bijoux d’horlogerie. Inscrite dans cette recherche de perfection, la nouvelle collection Trésor joue la carte du classicisme tout en sachant imprimer dans ses lignes ce qu’il faut de modernité. Parée de boîtiers de 36 ou 39 mm de diamètre en or Sedna ou en acier soulignés de volutes serties de diamants, cette gamme précise et fusionnelle se remarque par sa finesse destinée à exprimer son caractère charnel. Elle se distingue par une couronne de remontoir sertie d’un diamant unique entouré d’une fleur en céramique rouge formé de cinq logos de la marque, ainsi que d’un fond miroir orné du motif Her Time.