Horlogerie

Ekso Watches Gallery Quand donner l'heure est un art

Puisque l’horlogerie est un art en soi, elle mérite bien toute sa place au sein d’une galerie. Voilà l’idée lumineuse d’Ekaterina Sotnikova qui présente, depuis 2011 au sein de son Ekso Watches Gallery, des montres réalisées par des créateurs indépendants en éditions ultra-limitées ou uniques.

Le vrai luxe selon Ekaterina Sotnikova ? Laisser battre son cœur au rythme de garde-temps exclusifs, rares, souvent uniques ; des garde-temps choisis avec exigence et exposés avec passion au sein de l’Ekso Watches Gallery, ouverte par la jeune femme en mai 2011. Établi au cœur du Triangle d’or parisien, ce lieu se revendique comme une vraie galerie d’art horloger où les montres sont des œuvres d’exception, des créations pensées pour des amateurs « d’exclusivité, de rareté et de vrai “hand-made” ». Ici, pas vitrine ; on reçoit sur rendez-vous des clients qui « sont déjà des collectionneurs ou des amateurs avertis, dont les connaissances en horlogerie sont matures », assure la fondatrice. Comment alors, les surprendre encore ? Par une technique singulière, un design à couper le souffle, un modèle unique au monde.

Et c’est bien tout cela qu’offre Ekaterina Sotnikova entre les murs feutrés de son showroom élégant et chaleureux, où le temps se suspend aux mains de virtuoses tels que Vianney Halter, Kari Voutilainen, Andreas Strehler ou Ludovic Ballouard. En tout, huit marques sont représentées par la galeriste qui les sélectionne autant pour leurs qualités esthétiques – à l’image des exemplaires uniques de la Voutilainen Vingt-8 Black Label au design épuré ou de la Vingt-8 GMT Art Déco au cadran gravé à la main – que pour leur valeur artisanale : « l’horloger doit travailler avec ses propres calibres » affirme-t-elle. Une technique qui demande du temps, évidemment : les artisans présents à l’Ekso Watches Gallery produisent entre 10 et 50 pièces par an, pas plus. En quête de toujours plus d’exclusivité pour ses clients, Ekaterina Sotnikova fait régulièrement réaliser des modèles uniques pour la galerie comme la Voutilainen Vingt-8 Sarasamon dont les motifs du cadran ont été exécutés selon les traditions séculaires de la laque japonaise. « Un projet d’une pièce unique peut parfois nécessiter jusqu’à deux ans de travail », raconte la jeune femme. Pas de quoi pourtant, effrayer les passionnés qu’elle comble et pour qui le temps est si précieux.

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Un projet d’une pièce unique peut parfois nécessiter jusqu’à deux ans de travail

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Par Solenn Cosotti - Publié le

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