La collection Omega Constellation Météorite se compose de 20 modèles de 25 à 41 mm. Elle se distingue par des cadrans exceptionnels façonnés en météorite. Chaque fragment de météorite utilisé rend ces pièces absolument uniques.
OMEGA Vers l'infini et au-delà !
La boutique Omega rue Saint-Honoré ouvre ses portes après d’importants travaux d’embellissement. Une excellente occasion pour faire un saut dans l’univers de la marque et découvrir combien l’espace fait partie de son ADN. Avec de nouvelles pièces spectaculaires inspirées de la conquête spatiale, Omega nous offre un voyage dans lequel le temps semble éternellement renouvelé.
On l’oublie souvent, mais l’histoire de la conquête spatiale par Omega débute en 1962, lorsque l’astronaute Walter M. Schirra embarqua à bord de Mercury VIII avec, au poignet, un chronographe Speedmaster acquis à titre personnel. Comme le souligna plus tard l’ingénieur de la Nasa en charge des tests et des validations, c’est le choix fait par cet astronaute de s’équiper d’un outil horloger capable de servir de back-up en cas de dysfonctionnement des instruments de bord qui a incité la Nasa à procéder à un appel d’offres en vue de doter les équipages des missions spatiales d’une montre efficace et conforme à un cahier des charges très sévère. Et c’est justement Omega qui l’a remporté, devenant du même coup le fournisseur horloger officiel de la Nasa, pour son programme visant à atteindre la Lune. C’est à bord d’Apollo11 en juillet 1969 que ce chronographe a rejoint notre satellite. Devenu Speedmaster Professional Moonwatch pour l’occasion, il fut le premier instrument de mesure du temps mécanique à atteindre la Lune, non pas au poignet de Neil Armstrong mais à celui de Buzz Aldrin, à qui le commandant de la mission avait confié la sienne lorsqu’il est sorti en premier du LEM. Depuis lors, cet instrument emblématique de l’esprit de conquête de l’être humain fait par- tie de ceux les plus recherchés par le public. Car, en plus La boutique Omega rue Saint-Honoré ouvre ses portes après d’importants travaux d’embellissement. Une excellente occasion pour faire un saut dans l’univers de la marque et découvrir combien l’espace fait partie de son ADN. Avec de nouvelles pièces spectaculaires inspirées de la conquête spatiale, Omega nous offre un voyage dans lequel le temps semble éternellement renouvelé. Par Vincent Daveau d’être incroyablement robuste et précis, il véhicule une image d’aventure et de dépassement de soi.
Cette année, afin de satisfaire les collectionneurs, Omega lance une version de cet outil dans un boîtier ayant existé de 1957 – date de son lancement – à 1963, l’année de l’apparition de la carrure asymétrique. Doté du fameux calibre à remontage manuel 3861, il est équipé d’un cadran blanc inspiré de la teinte des combinaisons des astronautes d’antan. Bien entendu, les fans de ce garde-temps de légende préféreront peut-être le modèle de 44,25 mm de diamètre avec l’épaulement apparu après 1963. L’instrument, ici réalisé en céramique noire, baptisé Speedmaster Apollo 8 Dark Side of the Moon, sera fait pour eux. Dans cette configuration, un ajourage savant laisse voir une portion du relief de la Lune observable de la Terre côté cadran et, côté fond transparent, les composants du calibre manuel 3869 Co-Axial Master Chronometer sont gravés au laser d’une partie du relief de la face cachée de notre satellite. Enfin, toujours pour célébrer cette relation particulière qu’entretient Omega avec l’espace, la manufacture lance cette saison une nouvelle série de montres ornées, pour l’occasion, de cadrans réalisés dans une météorite baptisée « Muonionalusta » qui, datée de 4,5 milliards d’années, est l’une des plus anciennes à avoir touché la terre. En plus du modèle de 41 mm de diamètre en acier, on note la pré- sence, dans cette ligne astronomique, de modèles féminins très poétiques avec des cadrans météorites teintés, dans des tailles allant de 29 à 25 mm de diamètre, proposés en acier et or jaune 18K (29 mm) ou acier et or Sedna TM 18K, sertis ou non de diamants.
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