Harry Winston Jeux de lumières
Tout comme le bijou ne cesse de réinventer depuis des siècles, et malgré sa dimension limitée, des associations de pierres inédites en jouant sur les couleurs, les tailles et les volumes, le kaléidoscope propose des combinaisons infinies à partir d’un nombre d’éléments donnés dans un espace défini. Fidèle à la passion créative de son fondateur, la maison Harry Winston avait déjà exploré dans les années 1990 une inspiration en partant de cet instrument optique, créé au XIXe siècle par un physicien écossais, avec l’idée de reproduire l’éclat complexe d’un diamant. Un merveilleux objet d’artisanat d’art en édition limitée, baptisé l’Ultimate Kaleïdoscope, avait ainsi vu le jour. Aujourd’hui, le joaillier lui consacre une collection entière, Winston Kaleidoscope, marquée par une profusion exceptionnelle de coloris et de motifs.
Travaillés avec un minimum de métal, une série de 32 pendentifs suspendus à une chaîne longue de 76 cm, reproduisent autour d’une gemme centrale une parfaite symétrie de pierres aux teintes éclatantes. Façonnées avec une précision inégalée, elles semblent tenir entre elles sans que leur structure de platine ne vienne bousculer leur harmonie. Parmi les pièces phares, on note un premier pendentif dont l’aigue marine centrale est entourée de 42 diamants taille baguette, 27 saphirs, 29 rubellites et 31 aigues marines taille brillant, poire et marquise. Un second associe la rubellite rose aux améthystes, aigues marines et saphirs roses et jaunes. Un autre encore, dont l’éclat est particulièrement puissant, reprend la rubellite rose de centre mais cette fois-ci avec des turquoises et des grenats tsavorites.
A cette série, s’ajoutent cinq montres de haute joaillerie et six modèles Premier en or 18 carats dotés d’un mouvement automatique suisse. L’un d’eux marie une boîte en or rose à un cadran en dentelle de nacre perlée blanche appliquée sur une nacre rouge ornées de cabochons bleus, magenta, orange et jaunes relevés par un bracelet en alligator rouge vif. Parmi les pièces horlogères de haute joaillerie, coup de cœur pour une pièce virtuose où tournoie autour du cadran une pléïade de gemmes précieuses : 114 diamants et 113 tsavorites, saphirs bleus, spessartites orange et saphirs jaunes, un cocktail vitaminé indispensable en ces temps bousculés.
Salon Harry Winston
29, avenue Montaigne, 8e. www.harrywinston.com