Horlogerie

Omega et les femmes Une histoire d’amour au long cours

Omega aime les femmes, et elles le lui rendent bien. À la fois précieuse et horlogère, la nouvelle collection Seamaster Aqua Terra en est la plus belle illustration.

La Maison Omega entretient depuis toujours une histoire particulière avec les femmes, comme en témoigne la superbe exposition “Her Time”, qui a fait le tour du monde voici quelques années, avec une sélection des plus beaux gardetemps créés pour elles au cours des cent vingt dernières années. De la montre bijou secrète qui permettait de consulter l’heure discrètement – la chose était considérée comme impolie pour une dame – à la montre sportive à bracelet intégré, Omega a accompagné plus d’un siècle d’émancipation féminine en imaginant des garde-temps à la fois fonctionnels et exigeants, comme la Medicus, développée pour les infirmières en 1937, ou encore la Ladymatic de 1955, dotée du plus petit calibre automatique certifié chronomètre au monde.

« Depuis 1902, Omega a une histoire pionnière avec les montres-bracelets pour femmes, explique Raynald Aeschlimann, CEO d’Omega. Nous n’avons jamais considéré les montres pour femmes comme de simples accessoires décoratifs ou des versions miniatures de modèles masculins. » Le lancement de l’Aqua Terra 30 mm confirme cet engagement pour une horlogerie féminine sans concession, à la fois raffinée et exigeante d’un point de vue technique. Le cœur battant de cette montre est un petit bijou de technologie et le plus petit mouvement automatique certifié Master Chronometer jamais mis au point par la Maison, avec un diamètre de 20 mm et une épaisseur de seulement 3,98 mm (4,08 mm pour la variante Omega Co-Axial Master Chronometer 8751 qui équipe les versions en or Sedna et en or Moonshine). Ce calibre a nécessité quatre années de développement et se dévoile à travers le fond transparent de la montre, car, contrairement aux idées reçues, les femmes sont loin d’être indifférentes à la poésie de la mécanique du temps qui passe. « Nous concevons des montres pour des femmes qui refusent les compromis, qui veulent une ingénierie de précision, pas des approximations décoratives, poursuit Raynald Aeschlimann. Le fait que nous ayons développé un mouvement entièrement nouveau spécifiquement pour une collection féminine prouve que les femmes exigent de la précision dans leurs garde-temps.

Les douze références reflètent différentes expressions de confiance et de style, qu’il s’agisse d’or Sedna, d’acier ou d’or Moonshine. Ces femmes savent que la vraie qualité parle d’elle-même. » D’inspiration sportive avec leur bracelet intégré, ces douze références sont une véritable ode à la diversité, avec des modèles en acier, des versions bicolores ou en métal précieux et une série de cadrans pour toutes les envies, de l’argenté au vert, en passant par un bleu profond, un violet vibrant ou de la nacre. Et parce qu’un esprit sportif n’exclut ni le raffinement ni l’élégance, certaines arborent une lunette sertie de diamants et des index assortis, dont l’éclat anime le cadran. Placée sous le thème d’un secret trop beau pour rester caché, la campagne orchestrée pour le lancement de cette collection met en scène six femmes de caractère, qui symbolisent une féminité radieuse, affirmée et indépendante. « Nous avons choisi six femmes accomplies qui incarnent l’excellence dans des domaines variés», souligne Raynald Aeschlimann. Tems, auteure-compositrice-interprète récompensée aux Grammy Awards, l’actrice et performeuse oscarisée Ariana DeBose, Marisa Abela, comédienne primée aux Bafta, la chanteuse australo-coréenne Danielle Marsh, et les mannequins Sunday Rose Kidman Urban et Ashley Graham, qui a contribué à faire évoluer le regard sur la beauté, incarnent les facettes de la femme du XXIe siècle. « Ces femmes sont la preuve vivante que la précision, l’excellence et les réalisations pionnières transcendent tous les secteurs », conclut Raynald Aeschlimann.

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