Joaillerie

Dior, Sous le signe du bonheur

La collection Rose des vents signée Dior Joaillerie accueille de nouvelles pièces talismans fidèles à l’histoire et à l’esprit de Christian Dior

La rose des vents impose tout de suite une très jolie idée de voyage, et pour moi, la création d’un bijou ou d’une œuvre, c’est aller au bout de quelque chose, c’est le vent, c’est l’ailleurs, le guide qui montre le chemin », souligne Victoire de Castellane, directrice artistique de Dior Joaillerie. Pour l’été, la collection Rose des vents, un des best-sellers de la maison depuis son lancement en 2015, propose un nouveau vocabulaire de formes pour agrandir la famille. Le collier en Y vient, grâce à son pendentif suspendu au bout d’une chaîne, se loger dans le creux du décolleté. En or rose ou jaune, il est éclairé d’un diamant qui surmonte l’étoile à huit branches. Ce médaillon emblématique de la collection affiche côté pile le velouté d’une gemme polie : la nacre blanche lumineuse, la douce opale rose ou la profondeur de l’onyx noir. Bracelets d’été à porter seuls ou en accumulation, les joncs ouverts, tout en finesse, habillent le poignet de ce même trio de couleurs tandis que le diamant du centre de l’étoile dialogue avec celui qui termine le bijou. Dans le même esprit, les bagues ouvertes viennent cependant contraster avec l’aspect lisse du jonc en optant pour l’or grain de riz, un motif perlé qui rappelle les cordages marins. Pour un porté encore plus sophistiqué, Rose Céleste, ligne cousine de Rose des vents, joue avec deux rangs de médaillons aux tailles différentes déclinés sur trois nouveaux bijoux : de longues boucles d’oreilles asymétriques, l’une se finissant par le soleil rieur, l’autre par la lune recueillie, un collier au fermoir raffiné souligné par une étoile d’or qui descend vers le dos, et un bracelet souple où la nacre et l’onyx rejouent le contraste précieux du jour et de la nuit. À l’origine de Rose des vents, il y a cette anecdote de la vie du couturier qui remonte à l’année 1946. Le fondateur de la marque aurait trouvé par terre, le jour du rendez-vous avec l’industriel Marcel Boussac qui accepta de financer son aventure entrepreneuriale, une petite étoile en métal. Superstitieux, le créateur garda toute sa vie ce gri-gri dans sa poche. La collection joaillière rend aussi un hommage moderne à la maison familiale, située à Granville, où le petit Christian fut élevé face à la mer, entouré de roses. La villa s’appelait d’ailleurs les Rhumbs, un terme marin qui désigne un quart de vent sur les trente-deux que compte une rose des vents. Imprégnée de l’histoire du couturier, Victoire de Castellane continue de célébrer son étoile porte-bonheur à travers cette collection pensée comme un voyage aux quatre vents, colorée par des pierres dures venant d’horizons divers. 

https://www.dior.com/fr_fr

dior joaillerie paris
Par Louise Pothéry - Publié le

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