Dans la nouvelle boutique de la rue Pierre Charron, les adeptes de la marque tout comme les nombreux touristes qui la découvriront en passant dans ce quartier incontournable du luxe, retrouveront les pièces de haute joaillerie ainsi que les collections plus accessibles, un des points forts de la marque qui ne cesse, depuis sa création, de travailler à libérer le diamant de ses codes historiques. Par le style d’abord, en l’associant à un jean de tous les jours, et par le prix, notamment avec la dernière collection des bracelets My Move. « C’est notre première ligne unisexe, précise Valérie Messika. On peut choisir la couleur de son bracelet en cuir et le métal du motif central, or rose, jaune ou blanc, ou titane naturel, graphite ou anthracite pour faire sa propre combinaison. » Devenue une référence dans le monde très fermé de la joaillerie, Messika connaît un succès hors norme. Mais sa fondatrice ne perd pas de vue ses objectifs : rester concentrée sur la direction artistique de sa marque et pourquoi pas, un jour, lorgner du côté du design pour créer des objets…
Bracelet My Move, première ligne unisexe et personnalisable de Messika.