Galerie Templon
François Rouan n’a cessé de construire et déconstruire ses œuvres picturales dans des tressages infinis. Une palette dépouillée, une avalanche de noir et blanc, pour toujours mieux « construire un cadre qui parle du corps féminin », confie l’artiste. Ses images photographiques subissent le même sort que ses peintures avec des hachures, des pointillés, des entrelacs ou de minuscules virgules. À l’occasion de son expo- sition, un catalogue est publié en mai avec un texte écrit par Agnès Fabre.
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