La suite recèle bien des surprises car il n’y a rien de monastique dans cet espace baptisé Justine, en référence à l’héroïne du Marquis de Sade, tout de noir et de miroirs vêtue, dotée d’un lit rond et d’un confessionnal ouvrant sur une fenêtre avec vue sur la spectaculaire salle de bain.
Partout, dans les espaces publics comme dans les chambres, des surprises émaillent la décoration, des cabinets de curiosité, des œuvres d’art dans les placards sans oublier la crypte, dans laquelle des coffres enchâssés révèlent une sélection d’objets et de livre à acheter. Une signature olfactive évoquant l’encens et la myrrhe qui embaument nos églises plane dans tout l’hôtel, jusque le spa et son bain romain, nous rappelant que le Sinner est bel et bien un lieu mi-ange, mi-démon.