Cognac Martell : un coeur d’Or
Après son mélange emblématique, Martell Cordon Bleu XO né en 1912, et une belle moisson de cognacs d’exception lancés dans les années 2000 (Martell XO, Martell Création Grand Extra, L’Or de Jean Martell), la plus ancienne des maisons de cognacs, fondée en 1715 (l’année du décès de Louis XIV), signe aujourd’hui une collection exclusive et rare : L’Or de Jean Martell – Réserve du Château. Sous cette appellation, Martell inaugure un rendez-vous régulier avec de prestigieux châteaux français, dont l’histoire s’illustrera de flacon en flacon, traduite à chaque fois dans une cuvée en édition limitée à 1 000 pièces numérotées. Son élaboration est une gageure menée avec brio par le maître de chai Christophe Valtaud, détenteur d’un savoir-faire parachevé depuis neuf générations chez Jean Martell. Un art qui repose sur la maîtrise de l’assem- blage (1 400 eaux-de-vie des quatre grands terroirs du cognac pour cette collection), sur la patience et le temps long, pour parvenir au vieillissement idéal, celui qui exaltera les arômes dans toute leur opulence, au nez comme au palais. À cet assemblage complexe, vieilli dans des fûts de chêne à grain fin, le master blender ajoutera à chaque nouvelle édition une sélection d’eaux-de-vie illustrant l’histoire du château choisi et celle de la maison Martell. La chose faite, le mélange vieillira un peu plus dans des fûts de chêne vieux de 300 ans, issus des forêts les plus anciennes de France, d’abord dans un chai historique de la maison avant de prendre ses quartiers dans le château célébré. Et en l’occurrence, c’est avec le château de Chanteloup, demeure historique de la maison Martell nichée dans le terroir des Borderies – le plus petit et fameux cru de Cognac – que débute cette collection. L’Or de Jean Martell – Réserve du Château de Chanteloup s’ouvre sur un maelstrom fleuri, où l’iris, la giroflée sauvage et le chèvrefeuille s’enroulent autour des notes de fruits rouges (cerise et cassis) et des tonalités épicées. Au fil de la dégustation, les accents de terre et de rancio (la marque des grands cognacs longuement vieillis) se révèlent et s’étirent dans le bouquet final boisé dont les arômes de cèdre et de santal rappellent les fûts de chêne centenaires dans lesquels il a sommeillé.
L’ensemble constitue l’aboutissement d’une recherche perpétuelle d’absolu et de perfection, comme l’indique le maître de chai : « Vous avez entre vos mains un véritable trésor – un cognac qui représente une quête d’excellence s’étendant sur 300 ans», prévient-il. Et pour recueillir ce trésor ambré, l’écrin devait être à la hauteur. Sertie dans une boîte en bois étincelante toute ciselée de rayons cuivrés, la carafe en cristal Baccarat en forme de goutte parfaite, parée d’un col en or 18 carats, repose sur un socle en métal doré dont les reflets jouent avec la moire de la robe acajou du cognac. Pour couronner le tout, deux bouchons sont inclus, l’un pour le service, l’autre pour l’exposition, tout comme un livret relatant l’histoire de ce nectar divin, fruit de l’expérience et de l’audace d’une maison symbolisée par le martinet, cet oiseau capable de voler des mois sans se poser, en totale liberté.
La nouvelle carafe en cristal de Baccarat, en forme de goutte de cognac, dont le col est orné d’or 18 carats, repose sur un socle doré et renferme un élixir exceptionnel : L’Or de Jean Martell Réserve du Château Chanteloup.
Premier cognac d’une future collection en collaboration avec de prestigieux châteaux français, le flacon de L’Or de Jean Martell – Réserve du Château Chanteloup se présente dans une boîte en bois ciselée de rayons cuivrés.
L’ABUS D’ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ, À CONSOMMER AVEC MODÉRATION.
PHOTOS © FABIEN SARAZIN