Le nouvel écrin de Messika

Dix ans ont passé depuis que Valérie Messika a ouvert sa première boutique parisienne au cœur de la rue Saint-Honoré, l’une des artères les plus prestigieuses de la capitale. Un nouveau chapitre s’ouvre pour la maison avec une seconde adresse au numéro 13 de la rue de la Paix, autre épicentre mondial de la joaillerie avec la place Vendôme. La créatrice, aidée par le bureau Betak, a pensé cet espace à l’image d’un immense coffre-fort. Sur les deux niveaux Kelly Rowland et Valérie Messika de cet écrin avant-gardiste de 128 m2, les murs, du sol au plafond, sont tapissés de tiroirs métalliques dont les façades en métal brossé finition nickelée rappellent les portes d’armoires de coffres-forts. Les clients peuvent ouvrir à leur guise ces tiroirs et y découvrir des vitrines au cœur desquelles sont mises en scène les créations tout en diamants de la maison. Au sous-sol, une pièce plus cosy façon lounge accueille les clients VIP autour de canapés et d’un bar. Cette boutique, imaginée comme un Fort Knox sophistiqué mariant velours et marbre, abrite les collections de joaillerie, les créations dédiées aux fiançailles et mariages – la plus belle offre de solitaires de Messika y est ici proposée – et bien sûr les parures haute joaillerie dont celles issues de la collection Midnight Sun. Ces joyaux hypnotiques ont été présentés lors d’un défilé durant la dernière Fashion Week parisienne. Un événement, le troisième désormais, qui réinvente la présentation sur mannequin de pièces de haute joaillerie. Carla Bruni Sarkozy a ouvert le show, elle était suivie par des mannequins toutes parées de pierres précieuses qui se portent soit sagement au doigt, au cou, sur les lobes ou qui s’étalent sur l’oreille, sur toutes les phalanges et même sur les ongles. Certains bijoux ornent les cheveux, les ailes du nez, les lèvres, la taille et le bas des reins. Des joyaux que l’on peut désormais admirer et s’offrir dans l’une des deux boutiques parisiennes Messika.