Galerie Lelong Louise Bourgeois. I do, I undo, I redo
La sculptrice aux œuvres immenses savait aussi travailler dans l’infini petit, l’infinie délicatesse de la gravure ou de la feuille. Même si disait-elle, « la peinture n’existe pas pour moi », elle a toujours capté ses idées visuelles sur le papier qu’elle attrapait « comme des mouches en plein vol », confiait-elle encore. Découvrez sa série de Sainte Sébastienne dépecée, modelée, reconstruite.
___________________
Louise Bourgeois. Ainu Tree, 2000
Vous aimerez sûrement les articles suivants…
Rejoignez-nous sur
Instagram
Suivre @ParisCapitale
