Mode

Dior

Toujours dans le cadre du musée Rodin, le défilé Dior met à l’honneur une artiste féminine. Cette saison, c’est l’artiste italienne Isabella Ducrot et son installation géante baptisée Big Aura. Une vingtaine de robes de cinq mètres de haut, presque punaisées sur les murs. Big Aura la bien nommée, puisque c’est de l’aura d’un corps et d’un vêtement qu’il sera ici question, dans ce défilé signé Maria Grazia Chiuri. Aura implicite, mais, ô combien élégante des premiers passages: trench, pantalons, jupes, tailleurs à veste Bar longue ou plissée, dans des teintes tendres, beige ou gris clair… Ces tenues témoignent à merveille du credo de Maria Grazia Chiuri : « la fonctionnalité doit toujours être prise en considération. Et, si je crée une jupe, elle doit pouvoir s’enfiler avec un seul bouton. » Le moiré déferle sur la collection comme une vague de toutes couleurs: en doré, vert, bordeaux, blanc ou gris. Il met en valeur l’essence de cette robe cigale conçue par Monsieur Dior lui-même en 1952. Elle est l’une des sources d’inspiration de cette haute couture printemps-été 2024.

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