Café Shin,  » Asie va la vie ! »

« Et ça continue, en Corée et encore… » On pourrait en faire une chanson, mais la saveur ne serait pas exactement la même car, ici, l’idée est bien de stimuler les papilles, conformément à la vocation du chef trentenaire Julien Sebbag (passé par Tel Aviv, Londres et l’expérience pop up) et son amie la pâtissière Eun Jung Shin Akrich, native de Séoul, arrivée à Paris à la faveur d’un stage remporté dans un concours. Un tandem qui fait des étincelles puisque, soudé par des expériences communes à Paris (Créatures sur le toit terrasse des Galeries Lafayette, Forest au musée d’Art moderne) et à Marseille, le voici qui, depuis fin août, promeut le Café Shin, “lieu de beauté et de douceur” qui, dans un quartier très concurrentiel à la lisière des Grands Boulevards, relève le défi de la qualité d’inspiration coréenne, entre cafés, lattés, sucreries et kimbap raffinés.