Boubalé : une nouvelle table vibrante dans le Marais

Au sein du prestigieux hôtel Le Grand Mazarin à Paris, niché à l’intersection des rues des Archives et de la Verrerie, se dresse une nouvelle étoile de la gastronomie : le restaurant Boubalé. Cet écrin, imaginé par Maisons Pariente, transporte ses visiteurs dans un voyage sensoriel et émotionnel à travers les saveurs de l’Europe de l’Est et de Jérusalem. Boubalé, tendre terme yiddish pour “ma petite grand-mère”, évoque l’amour que les familles ashkénazes portent aux grands-mères, révélé à travers de généreuses portions qui nourrissent à la fois le corps et l’âme. Le chef étoilé israélien Assaf Granit rend hommage à ce patrimoine riche et souvent méconnu avec des plats qui marient l’authenticité des recettes traditionnelles à une présentation contemporaine et raffinée. Chez Boubalé, chaque détail du décor, des fresques des plafonds au cristal des verres gravés à la main, a été soigneusement choisi. La porcelaine délicate et l’argenterie nostalgique complètent cette scène, où le baroque rencontre la modernité dans une danse harmonieuse de styles. Le menu de Boubalé est une audacieuse réinterprétation des classiques ashkénazes. Des plats modestes se transforment en créations glamour et désirables, chacune racontant une histoire de rencontres et de mélanges culturels. De la Pologne à Israël, les recettes transmises par les générations précédentes sont présentées avec une nouvelle vitalité, grâce à la vision unique du chef Assaf Granit. Chaque dimanche, place au brunch (72 €) avec un buffet de produits frais et de spécialités ashkénazes telles que le traditionnel schnitzel, une escalope de poulet panée, ou encore le foie haché et la salade de chou. Pour accompagner ce généreux buffet, Itamar Gargi, chef exécutif du restaurant, propose à la carte une sélection de mets délicats composée notamment des incontournables borekas, des œufs Bénédicte ou encore d’un délicieux burger. Boubalé est plus qu’un restaurant ; c’est un lieu de rencontre où chaque visite devient une célébration. La musique emplit l’air, invitant les convives à danser autour des tables dans un esprit de convivialité et de joie partagée. Lors des beaux jours, on profitera de la charmante petite terrasse en bord de rue même si la rue des Archives n’est pas réputée pour sa tranquillité près du BHV.